BLACKWELL E. __ u.c

Edward Blackwell Mer 3 Juin - 11:19

MADE BY CHERRYTREE*

___ chap 1 ;

me, myself & I

Nom :

Blackwell.

Prénoms :

Edward.

Age :

24 ans.

Date de naissance :

27 avril.

Lieu de naissance :

Londres, UK.

Nationalité :

Anglaise et Irlandaise.

___ chap 2 ;

who I am

Pseudo :

June, Lou. Choisissez

Votre âge :

Je suis dégoutée, je vais sur mes 17 dans quelques jours .

Dites nous, vous êtes tombés comment sur ce forum ?

Sur Bazzart.

Bien, un petit truc à ajouter peut-être ?

J'adore faire des fiches où on doit décrire le caractère du personnage

Personnalité de l'avatar :

Luke GRIMES.

___ chap 3 ;

you can't read my Poker Face

Caractère :

Edward a été élevé dans la foi chrétienne, le premier trait que l’on peut découvrir en lui est donc l’innocence un peu naïve qui lui reste de cet enseignement chrétien. Innocence, vérité, bonté, générosité, tout ceci pourrait décrire Edward, du moins lorsqu’il est sous son bon jour. Car au fond Edward est un personnage indécis, tiraillé par diverses facettes de sa personnalité.
Il y a donc cet Edward bon camarade, joyeux, généreux, celui vers qui on va uniquement parce que ses lèvres dessinent un franc sourire et qu’il est près à effacer tous malheurs traînant dans votre sillage. Cet Edward, lui-même le déteste. Trop gentil, trop faible, trop simplet, pas assez réaliste, comme un enfant tombé dans la cour des grands trop innocent pour repousser celui qui lui marche sur les pieds.
Et pourtant, pour certain, ce côté de sa personnalité petit enfant plait à ses camarades qui s’en accommodent on ne peut mieux.
Mais de par son physique de jeunot insouciant et son éducation bornée, Edward s’est mit en tête de partir en voyage en quête d’une liberté quasi-sauvage. Repousser ses limites, jouer avec le feu, risquer sa vie pour un peu d’adrénaline, aller jusqu’au bout et encore plus loin - même avec les sentiments - jouer d’autrui, dépasser toutes limites, ne jamais se résigner, savourer sa vie ou juste exister. Jusqu’au boutiste, Edward est loin d’être l’Anglais mollasson se contentant d’une promotion par an. Edward a soif de vie, Edward a besoin de ressentir des choses éprouvantes et ce de n’importe quelle façon, tout doit avoir un goût d’inconnu, tout doit monter aux tripes et arracher le cœur.
Sous ses airs de jeune premier, il n’hésitera pas à jouer de vous pour se procurer le plaisir de la violence des sentiments. Et le peu d’amis sur qui il compte réellement le savent, il est très dangereux - même pour lui-même - avec ses sentiments et sa quête insouciante de liberté. Souffrir pour mieux apprécier, même en amour ou en amitié. Lui qui part dans une longue quête romanesque, avec ses airs de super voyageur ou d’Indiana Jones, attiré par le danger, la nouveauté, la brutalité, ne se laisse jamais avoir, décidant de conquérir tout et tous sur son bref passage.
Parce qu’il faut l’avouer, Edward ne s’attache qu’extrêmement rarement aux gens, si vous arriver à captiver un de ses regards et qu’il vous pousse dans une de ses relations extrêmes qui sont sa marque de fabrique, il est très bien capable de vous oublier deux mois plus tard, une fois ayant consumé votre relation et tous sentiment en ressortant.
Seulement Edward est un personnage triste et mélancolique, certainement du à son côté théâtral qui le pousse dans n’importe quelle occasion à se positionner dans le rôle de la victime maudite. Vous pouvez tomber sur un Blackwell tout sourire, doux et innocent, ange parmi les brutes qui se changera en un manipulateur extraordinaire qui peut tomber dans le spleen rien qu’en regardant les nuages danser dans un ciel bleu. Mais au fond, Blackwell reste un adolescent parmi tant d’autre, plus ou moins sociable, ouvert à la vie, bien élevé, attiré par la découverte de la vie, de ses sensations et sentiments, bien que Edward soit un être la vague à l’âme, jamais comblé ou rassasié, habitué des histoires d’amour éprouvantes et déchirantes et aux belles déclarations chantées au pied d’une fenêtre illuminée.

Habitudes :

Des petites manies, le jeune Blackwell doit en accumuler plus que le reste du monde. A lui seul il cumule tous les grands clichés. Tous les jours, à n’importe quel moment de la journée, peu importe le temps, l’heure, ses activités de la journée, il sera toujours une clope au bec, ou en train de s’en rouler une. Et surtout, vous risquez souvent de le trouver avec une cigarette coincée entre une de ses mèches blondes et son oreille droite. Jamais la gauche, toujours la droite. Pourquoi? Personne ne sait. De plus, vous pourrez toujours voir le jeune homme en train de taper le rythme de ses pieds. Ça non plus personne n’a jamais comprit pourquoi. Peut-être est-ce simplement son côté musicien qui ressort à chaque fois? Ou qu’il a besoin de se concentrer pour échapper à la rêverie. Il n’est pas rare non plus de voir le Edward jouant avec son zippo. Comme un vrai rockeur, comme un certain Pete Doherty d’ailleurs, il adore les zippo et quand il joue avec, même avec cette lueur d’amusant qui habite alors ses yeux, il a plus l’air d’un rockeur qui pourrait vous faire très mal, avec ses boots en cuir, sa veste en cuir, son air d’ex taulard, sa clope au bec. Le tableau parfait, et pourtant, c’est naturel. Et là, on peut encore continuer des heures, parce que des petites habitudes inconscientes, Edward en a tellement…

Une phobie :

Edward n’est pas un peureux, il aime se pousser toujours plus loin, et toutes ses peurs il les vainc. Seulement, comme beaucoup de monde, du moins plus que les apparences laissent deviner, Edward a terriblement peur de ne jamais rencontre l’amour. Car oui, le jeune est romantique, mais toutes les conquêtes qui passent par son lit à longueur d’années et avec qui il entretient toujours de complexes relations ne sont jamais véritablement faites pour lui, et c’est certainement pour cela qu’ils rompt toujours avec ses amours d’un instant à force de cris, de griffes, d’assiettes cassées. Sa peur serait donc de ne pas reconnaître son « âme soeur » qui semblerait bien être devant ses yeux.

___ chap 4 ;

found my pocket

Une couleur :

Vert absinthe. Cela révèle facilement sa fascination et son adoration de la Fée Verte, mais après tout, ça reste tout de même une belle couleur.

Un roman :

Lorsque n’importe qui lui pose cette terrible question « mais alors toi, quel est ton livre préféré? », Edward prend un air hautain, lassé, laissant penser qu’il est trop intelligent pour son interlocuteur et que surtout, ce dit interlocuteur l’embête au plus haut point. Et le jeune Blackwell répond alors, las, « Mais le Portrait de Dorian Gray, voyons! ». Est-ce que c’est vrai? Personne ne le sait. Ce que quelques filles savent par contre, c’est que dans sa chambre, Dostoïevski a depuis longtemps détrôné tout autre écrivain.

Un film :

Voilà encore une question qui embête grandement le jeune Blackwell. Combien de fois des gens stupides et ignorants lui on demandé, l’air bêta, « mais alors, c’est quoi ton film préféré? Celui que t’es capable de regarde des milliers de fois? ». Et encore une fois, dans ces cas là, Edward se montre assez froid, assez snob, hautain, avec une certaine lueur de dégoût dans les yeux, et répondant d’un sourire froid « Le Fight Club ». Et là, un froid envahi toute la conversation à chaque fois, à croire que n’importe quel interlocuteur s’imagine Edward Blackwell à la place de Tyler Durden et s’imagine de quoi il serait capable à sa place. Impressionnant?

Une chanson :

Demandez à Edward quelle est donc sa chanson préférée, et vous pouvez être sûr qu’il retiendra un soupir exaspéré que son air dépassé vous laissera comprendre tout de même. « Ma chanson préférée? ». Si le jeune homme ne vous agresse pas oralement vous aurez de la chance, beaucoup de chance. Il se peut également que le jeune se perde alors dans ses pensées à la recherche de LA chanson parfaite. Mais s’il veut juste se débarrasser de vous il vous sortira n’importe quel titre des Libertines.

Un parfum de glace :

Le jeune Blackwell ne mange pas de glaces, encore moins des glaces industrielles. Au mieux, il lui arrive lors de grandes envies de sucre de reproduire les sorbets au citron de sa grand-mère, ou même ses glaces maisons, qu'il a apprit à faire lorsqu'il avait qu'une dizaine d'années et qu'il connaissait une relation très proche avec sa grand-mère adorée.

___ chap 5 ;

this is a story about L.O.V.E

C’était un beau week-end, Elizabeth et Robert étaient tranquillement partis dans leur cottage à la campagne. Il était vrai qu’ils en avaient hérité de la grand-mère d’Elizabeth et qu’il n’était plus tout à fait adorable, mais eux, ça leur plaisait terriblement d’avoir un petit nid douillet pour les week-ends, après les longues semaines de labeur. Ce week-end était donc prévu pour être un autre de ces week-ends au calme, où chacun retrouve, avec une fulgurance de bonheur, l’autre. Encore une fois, sur le chemin du trajet, Robert avait promit à sa jeune épouse qu’un jour il serait assez riche pour lui retaper entièrement son petit et adorable cottage et lui refaire toute une décoration d’intérieur comme elle le souhaiterait. Évidement, personne ne pouvait supposer que personne ne pourrait avoir le courage de toucher à la décoration de ce cottage.

Il devait être aux alentours de dix-huit heure. L’heure pour le jeune couple de mariés de se rendre au petit restaurant qui se trouvait à quelques miles, afin de prendre un léger apéritif. Rien de trop fort pour madame, elle est enceinte. Robert finissait de ranger les derniers livres d’une des nombreuses étagères de la bibliothèque qu’il rangeait pour sa femme. Elizabeth était allongé sur un sofa, elle avait lancé le tourne-disque et prenait un plaisir simple mais véritable, à savourer ainsi sa vie. Et là, tout s’enchaîna très vite et personne n’eut le temps de réellement comprendre ce qu’il se passait. Quelques heures plus tard, de nombreuses heures plus tard, de longues, longues heures, la famille Blackwell et le médecin des environs, contemplaient le jeune et unique héritier des Blackwell qui venait de naître sur une chanson des Rolling Stones. Edward Blackwell serait-il prédestiné?

Il faudrait alors une semaine à l’ensemble des Blackwell avant de remonter en ville.

« Child of the moon, rub your rainy eyes Oh, child of the moon Give me a wide-awake crescent-shaped smile »

Le jeune Edward avait été baptisé Edward Bailey Smith-Blackwell, il était beau, blond, merveilleux, grand, ou du moins, assez pour son âge. Le jeune garçon était constamment sage, poli, gentil, curieux de tout, mais assez réservé tout de même. Il ne lui arrivait quasiment pas de faire la moindre bêtise. Il était toujours enthousiaste, ou du moins, dès que quelque ses parents l’approchaient. Le jeune garçon n’avait qu’un seul véritable ami, et c’est en sa compagnie, qu’ils inventèrent le jeu de leur enfance. Ce jeu était simple, pas très intéressant et d’ailleurs n’intéressait que les deux amis. Ce jeu consistait à trouver un livre intéressant dans la bibliothèque de leurs parents et de s’en faire raconter l’histoire et s’en souvenir jusqu’au lendemain, lors de la récréation, pour la raconter à l’autre.

Edward venait d’achever son dernier devoir. Sa petite main, encore légèrement potelée, s’était appliquée pendant des heures à recopier des lignes et des lignes d’alphabet, en suivant au mieux que possible le modèle donné par la maîtresse. « Bientôt, je saurais écrire. » Edward se le répétait tous les jours, même plusieurs fois par jours. Il était fasciné à chaque fois qu’il voyait un adulte écrire des feuilles et des feuilles entières. Maintenant, il savait un tout petit peu lire. Bientôt, il serait un grand. Alors le jeune garçon avait refermé son cahier, l’avait glissé dans sa serviette et avait rebouché son plume, le plume que Grand-Maman avait offert à Noël. Edward avait remis sa chaise bien à sa place et avait quitté sa chambre en prenant bien le soin de fermer délicatement la porte derrière lui. Comme un grand délinquant, comme il en voyait parfois à la télévision quand maman se reposait, il s’était avancé sur le palier de son étage, et s’était légèrement penché par-dessus l’escalier. Il guetta les bruits à l’étage inférieur, il n’y avait pas le moindre bruit, Maman et Papa devait être à une réunion, ou encore en train de prendre le thé avec des amis. Un sourire éclaira le visage du petit homme. Tout doucement il se précipita sur les marches qui le mènerait vers la chambre aux trésors.

« Chéri. … Chéri! Mon amour, il faut te réveiller… Doucement, c’est maman, ne t’en fais pas. »

Anecdote de la vie actuelle :

La seule petite anecdote qu'on demande, histoire d'évaluer votre niveau RP (description et dialogues) si vous choisissez de retracer la vie de votre personnage sous forme d'un simple résumé, dans le camp ci-dessus.

___ chap 6 ;

dirty mind, dirty friends

Ici figurera votre carnet de relations, qui peut être édité, élargi et modifié à tout moment.

PRENOM NOM - AVATAR

Description de la relation.

PRENOM NOM - AVATAR

Description de la relation.